Des candidates et des candidats qui soutiennent l’économie et les PME!
En résumé
Bilan de cinq ans de législature pour Jacques Béné et Véronique Kämpfen, députés et collaborateurs de la FER Genève.
Jacques Béné, PLR
Le dossier incontournable de cette législature 2018-2023 aura bien évidemment été la gestion du covid-19. La présence de députés proches des entreprises a été cruciale au moment de définir les besoins du tissu économique genevois. Les longues séances de travail avec des entrepreneurs et des comités d’associations – très souvent membres de la FER Genève – afin de comprendre les besoins spécifiques de leurs domaines d’activités, ont été essentielles dans les négociations politiques, notamment en commission de l’économie du Grand Conseil, et a permis le dépôt de divers projets de loi et le versement des aides covid. Cela a réellement donné un sens concret à mon action politique et valorisé le lien avec les membres de la FER Genève.
J’ai également déposé d’autres textes parlementaires pour soutenir le tourisme, notamment par le biais de la création de chèques-restaurant pendant la crise sanitaire, pour assurer la pérennité de la consultation sociale de Pro Senectute, pour permettre des horaires flexibles d’ouverture des magasins. La prochaine législature sera celle de nombreux défis pour les entrepreneurs. Il faudra faire comprendre que pour partager des richesses, il faut en produire. Il faudra donc accompagner et stimuler nos entreprises pour qu’elles génèrent des emplois et que toute la société participe à la transition énergétique. Je souhaite poursuivre mon mandat pour m’engager pour une baisse de la pression fiscale et pour que l’Etat se fixe des priorités et supprime les tâches inutiles et coûteuses.
Enfin j’aimerais qu’on parle à nos enfants du plaisir de vivre ici et pas ailleurs, qu’on parle de tout ce qui va bien et pas que du pire, qu’on parle d’espoir plutôt que de peurs, sans céder à la dictature des minorités, qui n’ont plus envie de rien.
Véronique Kämpfen, PLR
Être députée au Grand Conseil est une activité prenante, chronophage et passionnante. Au cours de mon mandat, j’ai découvert l’envers du décor: comment les lois sont créées, quelles sont les alliances possibles en fonction des sujets, quels combats mener en priorité. Il faut apprendre à gérer l’échec et intégrer que rien n’est jamais acquis. S’engager avec conviction mais aussi avec raison est la bonne façon de trouver l’équilibre et de résister aux pressions.
Faire de la politique est motivant, parce que cela permet d’agir en faveur de notre canton et de sa population. En cinq ans, je me suis particulièrement engagée pour lutter contre le travail au noir, parce que l’économie souterraine est une forme particulièrement cynique de concurrence déloyale qui asservit de façon indigne les personnes qui y travaillent. Sur le plan de la fiscalité, j’ai participé à la rédaction d’un projet de loi sur l’imposition des biens immobiliers, pour donner de la prévisibilité aux propriétaires et éviter qu’ils ne soient assommés par une fiscalité confiscatoire. Je soutiens une révision de l’imposition des véhicules qui prenne en considération les enjeux climatiques sans pour autant punir celles et ceux qui ne peuvent se passer de leur ancien véhicule.
Les questions sociales me tiennent également très à cœur. Je soutiens notamment la mise en place d’un congé parental et j’ai défendu avec conviction un congé adoption qui puisse être réparti de manière souple entre les deux parents. Enfin, je m’engage pour un système de soins qui continue à permettre à toutes les personnes travaillant dans la santé de développer une activité entrepreneuriale. L’étatisation de la santé n’est pas la réponse pour offrir des soins de qualité à un prix adéquat; le privé et le public doivent collaborer pour assurer le bien-être de toutes et de tous.
Permanents des associations économiques genevoises
Anne Hiltpold, PLR
«Mon ambition pour Genève est de redonner le goût d’entreprendre, en plaçant l’Etat dans un rôle de soutien et de facilitateur. Chaque entreprise joue un rôle essentiel pour la prospérité de notre canton et doit être reconnue à sa juste valeur.»
Jean-Pierre Pasquier, PLR
«Je veux une Genève à la pointe des nouvelles technologies. Elles permettront de créer de nouveaux emplois, de faciliter la mobilité et d’améliorer la qualité de vie. Je veux une école de qualité et une formation professionnelle valorisée. Je veux une Genève attractive et une économie prospère, qui crée des emplois et de nouvelles richesses.»
Helena Rigotti, PLR
«Je souhaite pour les entrepreneurs une charge administrative allégée, une fiscalité stable, et non confiscatoire. Je souhaite une mobilité réfléchie. J’aimerais une Genève dynamique, responsable et durable, qui innove et encourage la formation, un Etat donnant plus de liberté et au service de la population. Une Genève où il fait bon vivre, tout simplement.»
Philippe Rochetin, Le Centre
«Conseiller municipal depuis dix-sept ans à Plan-lesOuates, associé d'une PME, je soutiens les entrepreneurs en mettant plus de moyens dans l'aide aux start-up. Les charges qui pèsent sur les familles de la classe moyenne me préoccupent. Je défendrai l'aide financière au sport que j'associe avec la santé, mon domaine d'activité professionnelle.»
Vincent Subilia, PLR
«Investi au quotidien pour le rayonnement économique de Genève, je me réjouirais de poursuivre mon engagement en faveur de nos entrepreneurs, pour un second mandat au sein du Grand Conseil, dans le prolongement des démarches activement menées durant cette législature, en particulier sur le plan fiscal, de l’aménagement ou de la santé.»
Flore Teysseire, PLR
«Je m’engage pour des conditions cadre qui garantissent la liberté d’entreprendre à la population et aux entreprises qui font la fierté de Genève, soit une fiscalité raisonnable pour la classe moyenne et les entreprises sans accabler davantage les gros contribuables, une mobilité fluide et équilibrée qui convienne le mieux à chacun et un Etat efficient.»
Quelques chefs d’entreprise membres de la FER Genève, issus de partis soutenus par celle-ci
Cyril Aellen, PLR
«A la tête d’une PME ou comme homme politique, je suis un libéral de conviction: je crois en la valeur du travail, du mérite, de la responsabilité et de la liberté dans le respect des autres.»
Boris Calame, Vert’libéral
«Entrepreneur indépendant et député, je m’engage pour une économie de proximité, collaborative et diversifiée. Ainsi on développera plus encore une économie bien plus durable.»
Joelle Fiss, PLR
«Consultante indépendante, je m’implique dans la politique locale et internationale. Je garde un œil concret sur la vie des entrepreneurs de la cité tout en en ayant une vision globale.»
Roger Gaberell, Le Centre
«La transformation passe par une nouvelle conception du cadre étatique: l’entrepreneuriat doit donner envie! Cela sert à la fois l’économie locale, l’emploi et la durabilité.»
Jean-Marc Guinchard Le Centre
«Je regrette les discours antientreprises et anti-riches, ignorant la contribution fiscale de ceux qui assument nos prestations sociales. J’aimerais donner envie à d’autres entrepreneurs de créer leur entreprise et de disposer de conditions cadre favorables.»
Christo Ivanov, UDC
«Je dis ce que je fais et je fais ce que je dis. Ici, c’est Genève.»
Laurent Marconi, Vert’libéral
«Pour mieux d’Etat, par une approche centriste assumée, exonérée du stérile et dépassé clivage idéologique gauchedroite.»
Pierre Nicollier, PLR
«Animé par une passion pour les transformations, en particulier celles liées à la technologie et à la santé, je souhaite contribuer à un environnement favorable à l’innovation, au service de la population.»
Cédric Pilatti, UDC
«L’entreprise est le moteur de l’économie. Un entrepreneur a la connaissance du terrain, des problèmes rencontrés et détient les solutions pragmatiques à la résolution de ceux-ci.»
Michel Roche, Vert’libéral
«Je m’engage pour construire un avenir durable pour les générations futures. Je m’engagerai avec détermination en faveur de conditions cadre économiques optimales.»
Alexandre de Senarclens, PLR
«Améliorer la fiscalité, maîtriser la dette de l’Etat, prendre le virage de la transition énergétique, alléger la charge administrative, renforcer les hautes écoles, la recherche et l’innovation, et que Genève demeure la capitale du multilatéralisme.»